Investissements directs étrangers (IDE), oui... mais pas n'importe lesquels! En évoquant le sujet dans une précédente édition (La Presse Economie du 6 février 2013), nous avons insisté sur la nécessité d'attirer ceux susceptibles de générer une haute valeur ajoutée. Celle-ci pourrait se révéler aussi bien dans les infrastructures des projets lancés que dans les technologies qui les sous-tendent. Certains projets ont le mérite d'apporter du nouveau aussi bien en termes d'infrastructures qu'en termes de technologies (télécommunications, bâtiments ultra-modernes, énergies renouvelables...).
Il s'agit comme nous l'avons proposé dans ladite édition de se défaire de cette image de destination «serpillère» où les IDE ne sont attirés que par des critères le moins que l'on puisse dire primaires et on ne peut plus «réducteurs», tels qu'une main-d'oeuvre docile et bon marché ou des avantages fiscaux à la limite du décent.
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