On aura, quand même, le remaniement ministériel tant annoncé, ou plutôt un nouveau gouvernement avec un nouveau chef. Huit longs mois de négociations, de tractations n'ont rien donné jusqu'à cette initiative de M. Hamadi Jebali proposant un gouvernement de technocrates, indépendants des partis.
Cela a créé un choc qui a contrebalancé celui provoqué par l'assassinat de Chokri Belaïd. Une initiative qui aura eu «le mérite d'avoir évité à la Tunisie de glisser dans le chaos». On s'est interrogé sur les motifs du chef du gouvernement. Il savait pertinemment que son mouvement, dont il est secrétaire général, ne lâcherait rien et que sa proposition était vouée à l'échec.
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