Panique à bord. Le ministère de l'Education est dans tous ses états, la cause ? Un taux effarant de suicides comme en Chine, en Finlande ou au Japon ? Non. Le pays est secoué par une fusillade dans les classes comme aux Etats-Unis ? Non plus, mais des jeunes qui dansent dans un lycée de Tunis.
On en rigolerait presque, n'eussent été les menaces du ministre d'expulser les futurs danseurs. Le ton sérieux qu'adoptent des responsables pour donner leurs avis et la tournure que prend « l'acte provocateur » a de quoi inquiéter. La polémique prend des proportions énormes, secouant le sommet du ministère et divisant la population en conservateurs, pères Fouettards, gardiens de la morale et en libéraux, tolérants et permissifs.
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