«A qui appartiennent les vrais pouvoirs en Tunisie ? Aux institutions de l'Etat ou à Rached Ghannouchi qui gouverne dans l'ombre ? » La question qui résume depuis des mois l'opacité et l'ambiguïté du paysage politique et le climat d'insécurité dans le pays, est posée avec plus d'acuité que jamais après l'assassinat de Chokri Belaïd.
Les résultats des investigations publiés sur le site Nawaat, les révélations des journalistes Soufiane Ben Farhat et Zied El Héni confortent, avec plus ou moins de détails, la thèse de l'existence d'un corps de police parallèle et d'une liste nominative d'assassinats politiques, sous les ordres du parti Ennahdha via les ligues de protection de la révolution.
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