«Maintenant, nous allons travailler !», a décrété M. Ali Laârayedh, fraîchement promu chef de gouvernement au micro d'une journaliste tunisienne qui demandait à l'interviewer. Et la réponse est tombée comme une sentence.
La première interview du nouveau chef du gouvernement sera accordée à un média étranger. Une instruction plus discrète suivra dans le cercle des membres du nouveau gouvernement, leur interdisant les déclarations à la presse locale et la valse des plateaux télé et des radios. Un boycott résolu et méthodique va commencer en même temps que l'entrée en activité du nouveau gouvernement.
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