Faut-il satisfaire aux exigences du Fmi en réduisant la masse salariale et provoquer inéluctablement des remous sociaux ? Ou faut-il augmenter la masse salariale en prenant en compte les revendications catégorielles ou le moins la laisser au niveau actuel et subir les foudres du Fmi ? Le choix est cornélien et le gouvernement ne sait par quel bout prendre l'épineux problème de la gestion de la masse salariale.
Et le soutien du patronat à la valorisation du Smig (de 35.000 F à 60.000 F) ne fait que renforcer le souci du gouvernement. Avec un ratio de la masse salariale sur les recettes fiscales établi à 42,3% en 2012, le Fmi n'entend plus laisser courir une situation qui perdure.
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