Pendant que ses populations traumatisées par la faim et terrorisées par l'insécurité ne savent plus à quel saint se vouer, voici que la Centrafrique replonge à nouveau dans un règlement de comptes entre l'Armée de la Séléka au pouvoir et une rébellion armée qui se réclame du président déchu François Bozizé au Nord-est du pays.
Comme à l'accoutumée, ce sont les populations civiles qui paient le plus lourd tribut à cette énième vendetta qui ne fait que détruire les bases d'une république qui a très mal à sa gouvernance.
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