Abidjan — Au centre de santé communautaire de Cocody-Anono, au sud-est d'Abidjan, la capitale économique ivoirienne, Bertine Bahi*, 32 ans, est assidue aux séances de sensibilisation sur la Prévention de la transmission mère-enfant (PTME) destinée aux femmes séropositives.
Dépistée séropositive, il y a deux mois, elle porte une grossesse de 20 semaines en octobre, mais Bahi n'a pas dévoilé son statut sérologique à son époux. "En dépit des conseils de la sage-femme, c'est difficile d'en parler à mon mari. Si je le fais, je prends la porte", affirme Bahi à IPS. "Pour le moment, quand il y a des antirétroviraux (ARV) disponibles, je les prends en cachette à la maison".
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