Harare — Leroy Muzamani originaire de Highfield, un bidonville à faible revenu du Zimbabwe, est assis les mains au menton.
Vêtu d'un t-shirt usé, de chaussures qui ont été réparées à plusieurs reprises et d'un pantalon trop grand, il attend au ministère des Travaux publics dans la capitale du pays, Harare, espérant qu'ils l'embaucheront pour travailler comme ouvrier occasionnel pour cette journée.
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