Mardi, le ministre burundais Edouard Nduwimana a mis le feu aux poudres en annonçant officiellement que le président Pierre Nkurunziza briguera un troisième mandat, et cela après moins d'une semaine le camouflet infligé au chef de l'Etat burundais par l'Assemblée nationale du Burundi.
Elle a rejeté une révision de la Constitution qui va lui permettre de casser le verrou constitutionnel des deux mandats. Mais devant le tollé suscité par ces propos, le pouvoir burundais a tenté de calmer le jeu, sans toutefois démentir le ministre Nduwimana.
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