Kigali — Alors que le génocide des Tutsis fait rage en avril 1994 dans les environs de son austère couvent à Gisenyi (nord-ouest du Rwanda), une religieuse hutue se dresse, seule et contre tout, pour dire « NON ». Elle sera tuée par un chef milicien. Mais après avoir mis à l'abri des dizaines de Tutsis. L'auteur du meurtre avouera son crime, quatre ans plus tard, devant le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR).
Felicita Niyitegeka, de la congrégation des Auxiliaires de l'Apostolat, accueille chaque jour, en cachette, des Tutsis désespérés. Après la tombée de la nuit, par des sentiers qui lui sont familiers, elle les conduit à Goma, de l'autre côté de la frontière entre le Rwanda et le Zaïre de l'époque.
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