L'activité de réparation-vente de postes téléviseurs analogiques, jadis, rentable est de nos jours à la croisée des chemins. Le constat sur le terrain laisse percevoir une activité qui bat de l'aile dans un contexte de transition numérique.
« Avant, chaque jour, on pouvait avoir une dizaine de clients, mais maintenant, on peut faire un à deux jours sans un seul client », confie, avec amertume, Thomas Kaboré. Cet aveu en dit long sur l'état des affaires du jeune réparateur de la trentaine d'années.
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