A une heure de la fermeture des bureaux de vote en Algérie, l'ancien Premier ministre, principal candidat qui s'oppose au président sortant Abdelaziz Bouteflika, a d'ores et déjà dénoncé des fraudes massives.
Encore une fois, la fraude à laquelle on nous a habitués existe encore. Partout dans le pays. Attention. L'avenir de l'Algérie n'est envisageable que dans le respect du peuple et de la liberté de choix. Aujourd'hui, si on donne l'occasion au peuple pour s'exprimer librement, l'Algérie sortira de la crise. Si non, si la fraude persiste, la crise s'endurera.