Les chartes de déontologie des journalistes qui prévoient la protection des sources d'information pourraient servir d'exemples aux juristes dont la tâche est de rédiger un texte qui protège les sonneurs d'alarme
«La corruption, le plus infaillible symptôme de la liberté constitutionnelle», disait Edward Gibbon. Malheureusement, durant ces trois dernières années, et bien qu'on se soit doté d'une nouvelle Constitution, le cancer de la corruption continue de sévir dans nos contrées à un rythme accéléré, comme l'atteste le dernier classement mondial de lutte anticorruption (Rapport de Transparency International de 2013), où la Tunisie s'est classée 77e sur un total de 177 pays et occupe la première place au Maghreb.
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