Le rapport finale de l'étude commanditée, entre autres, par le ministère de la Femme, de la Famille et de l'Enfance, le Fonds des Nations unies pour la population (Unfpa) et le ministère de la Santé à Dakar et Tamba, zones de fortes pratiques des mutilations génitales féminines montre que, 13% des responsables de la pratique sont des hommes.
13% des initiateurs (de la pratique) des mutilations génitales féminines chez la population locale et migrante à Dakar et Tambacounda sont des hommes. S'ils ne sont pas les commanditaires, ils apparaissent dans d'autres cas comme les exciseurs. C'est ce qui ressort d'un rapport sur la pratique des mutilations génitales féminines dans les deux localités cibles rendu public hier, vendredi 18 juillet, lors de l'atelier de restitution.
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