Au cours d'un atelier qui se clôture se jeudi 24 juillet 2014 au Grand Hôtel Kinshasa, le ministre des Ressources hydrauliques et Electricité, Bruno KapandjiKalala, a confirmé que la réalisation de la centrale hydroélectrique d'Inga 3, avec une puissance installée de 4.800 mégawatts en première phase, devient un impératif absolu pour le développement socio-économique de la République Démocratique du Congo et une des conditions d'intégration régionale et de création du marché commun de l'Afrique.
Cet atelier met en face le gouvernement congolais et les trois candidats développeurs pré-qualifiés, à savoir Acs-Eurofinsa-Aee (espagnol), Gtpc-Cwe-Sinohydro (chinois) et le groupe canado-coréen SncLavalin-Posco-Daewo. Il permet ainsi de baliser la voie du projet d'Inga 3, basse chute, en toute transparence et à des conditions techniques, financières, environnementales et procédurales acceptables par toutes les parties. Cela, en tenant compte des paramètres de rentabilité, de mobilisation des fonds, de gestion des risques, des coûts de production et de transport, et de la demande crédible, a dit le ministre.
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