On voyait venir les choses. Cela n'a rien de surprenant. Le chef d'état-major de la Séléka a déclaré ne pas se reconnaître dans l'accord de cessez-le-feu qui a été paraphé in extremis à Brazzaville au Congo, le 23 juillet dernier, sous l'égide du président congolais Denis Sassou Nguesso.
Certes, le médiateur a pu sauver la face en arrachant de justesse et au forceps, un cessez-le-feu entre Séléka et antibalaka. Mais force est de constater que son application pose problème. Car la situation n'a visiblement pas évolué depuis le forum de Brazzaville qui était censé mettre fin à la violence.
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