Ce financement du Japon, de près de 2.20 millions de dollars américains (environ 5.17 milliards d'ariary), permet à ces deux agences des Nations Unies et leurs partenaires de venir en aide à des groupes vulnérables, incluant femmes enceintes et enfants, dans les régions Atsimo Andrefana, Androy, Anosy, Atsimo Atsinanana et Menabe, au sud et sud-est de Madagascar.
Cet appui du gouvernement du Japon arrive à point nommé pour prévenir une aggravation de l'insécurité alimentaire qui affecte quatre millions de personnes dans le pays[1]. Les résultats préliminaires de l'évaluation des récoltes et de la sécurité alimentaire de 2014[2] indiquent que près d'un tiers des ménages à Madagascar sont en insécurité alimentaire (sévère et modérée) et que les taux les plus élevés d'insécurité alimentaire sévère se trouvent dans les régions Androy et Atsimo Andrefana.
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