Après le discours du président de la République, l'opposition réitère ses craintes contre une tentative de déverrouillage de l'article 220 de la Constitution.
Le discours du président de la République, Joseph Kabila, prononcé le 26 septembre à la tribune des Nations unies n'a pas apporté une réponse au débat sur la révision de la Constitution qui divise la classe politique congolaise. Au contraire, il semble apporter de l'eau au moulin de ceux de l'opposition qui ont toujours déploré le mutisme du chef de l'État face à cette question et laisser libre court à la spéculation qui a pris en otage l'ensemble de la population congolaise.
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