La révision constitutionnelle accapare le devant de l'actualité de la session de septembre du Parlement, pourtant réputée budgétaire ! La classe politique en a voulu ainsi, démontrant son insouciance sur les souffrances du souverain primaire.
Le peuple n'est bon que pour lui prendre les voix lors des scrutins. Par la suite, les mandataires s'estiment en droit de régenter le pays comme un patrimoine privé, souvent au détriment du mandant.
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