La communauté internationale se fait de plus en plus menaçante vis-à-vis des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR). Actives dans l'Est du Congo, les FDLR avaient entamé un processus de reddition volontaire. Un délai de six mois avait été accordé le 2 juillet par les chefs d'Etat de la Communauté d'Afrique Australe (SADC) et la Conférence internationale sur la région des Grands lacs (CIRGL). Or depuis, aucun nouveau rebelle ne s'est rendu. A mi-parcours, le Conseil de sécurité de l'ONU menace de nouveau d'employer la force.
Les 15 membres du Conseil de sécurité de l'ONU ont décidé d'être unanimement fermes. « Seul un net progrès vers une démobilisation totale des FDLR, pourrait empêcher une opération armée », dit leur déclaration commune.
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