Ceux qui attendaient de voir réapparaître l'ex-première dame de Côte d'Ivoire à Abidjan devront encore attendre. Le lancement du procès de Simone Gbagbo et de ses 83 co-accusés a été reporté à une date ultérieure. Officiellement, c'est pour des «raisons d'organisation».
Mais à la vérité, le pouvoir du président Alassane Ouattara semble avoir confondu vitesse et précipitation dans la gestion de ce dossier judiciaire hautement politique. Et c'est tant mieux, s'il accepte de reculer pour mieux sauter.
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