Des responsables dans quelques pays occidentaux et aux Nations Unies affichent une profonde contrariété à la suite de la décision de Kinshasa de déclarer « persona non grata » Scott Campbell, le chef de la division droits de l'homme de la Monusco qui dirigeait le bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l'homme en République démocratique du Congo (Bcnudh).
Accusé depuis plusieurs années par les autorités congolaises de recourir à une méthodologie contreproductive dans l'accomplissement de sa mission, le fonctionnaire onusien a été finalement prié de quitter le territoire le 16 octobre 2014. Cette décision est individuelle et ne vise pas le Bcnudh dans son ensemble.
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