Ouagadougou, la capitale burkinabè et plusieurs autres villes du pays ont subi jeudi 30 octobre, d'importantes casses, après celle de l'Assemblée nationale où les députés n'ont pas pu examiner le projet de loi portant révision constitutionnelle.
Face à la ténacité de milliers de manifestants, les éléments de l'impressionnant cordon sécuritaire dressé depuis mercredi à plusieurs centaines de mètres autour de l'Assemblée nationale ont préféré se retirer, laissant le chemin libre aux protestataires qui ont empêché les députés de se réunir et de réviser de deux à trois le nombre de quinquennats présidentiels.
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