Au Kenya, le président Uhuru Kenyatta a limogé ce mardi 2 décembre le ministre de l'Intérieur et le chef de la police, après le nouveau massacre de 36 ouvriers travaillant dans une carrière à Mandera, dans le nord du pays. L'attaque a été revendiquée par les islamistes somaliens shebabs. Le président kényan a promis « d'intensifier la guerre contre le terrorisme ».
Cela faisait des mois qu'ils étaient sur la sellette. Quelques heures après l'attaque à Mandera, le président kenyan a annoncé le départ de David Kimayio, le chef de la police et de Joseph Ole Lenku, le ministre de l'Intérieur. Ce dernier est remplacé par Joseph Ole Nkayserri, un militaire à la retraite élu au Parlement depuis 2007.
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