Le lycée d'Etat d'Oyem semble ne pas traverser les mêmes problèmes que les établissements scolaires de Libreville, souvent perturbés par les grognes des enseignants.
Si le mouvement d'humeur qu'observent les syndicats des enseignants depuis quelques semaines crée des disfonctionnements dans le déroulement des cours à Libreville, ce n'est pas le cas au Lycée d'Etat Richard Nguéma Bekale. Situé à Oyem, première ville du woleu-Ntem, cet établissement apparaît imperturbable face à la grève des enseignants. Elèves et enseignants se rendent quotidiennement en classe depuis le début des cours : « on peut revendiquer en continuant de faire notre travail » estime Maxime Nzé Mba, enseignant de cette école.
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