*Génies en herbe, élèves et étudiants ont été les plus grandes victimes des folles journées du 19 au 21 janvier, à Kinshasa. Au-delà du nombre de biens saccagés, pillés ou emportés, les dégâts humains ont été énormes.
Loin de se perdre en conjecture sur des chiffres liés à la comptabilité macabre sur les morts, il y a lieu de souligner, ici, que le spectre du mal restera actif tant que les autorités congolaises n'auront pas imaginé, le plus rapidement possible, des formules, pour s'attaquer aux causes sous-jacentes de l'agitation observée.
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