Le tollé mondial n'est décidément pas de tomber quelque trois semaines après l'innommable massacre des animateurs de « Charlie Hebdo » ni les Les manifestions de s'estomper, surtout hors de la France, même si cette agitation aurait fait marrer Charb, Cabu, Tignous et Wolinski, figures historiques du journal qui aimaient à se moquer de tout.
D'un côté le tollé général de désapprobation de l'assassinat aveugle d'un canard dont le crime est d'être insolent et irrévérencieux, puis de l'autre une indignation tout aussi proportionnelle après que les survivants du journal, dans leur toute première parution après le drame, ont remué le crayon dans la plaie en caricaturant une fois de plus le prophète de l'islam. Aïe ! ça, c'est « la caricature de trop », se sont effet indignés bien de mohametans
...