Le chef du gouvernement désigné poursuit ses consultations sans demander de nouveaux noms à ses interlocuteurs ni promettre de postes ministériels. Ennahdha s'accroche à un gouvernement d'union nationale, Afek Tounès exige de connaître à l'avance qui va participer. Une frange des nidaistes opposée à Ennahdha estime que la majorité est acquise même si le Front populaire ne change pas de position
Hier, mardi 27 janvier, deuxième jour du deuxième round des négociations conduit par Habib Essid en vue de revoir son équipe ministérielle annoncée vendredi dernier et qui a suscité un tollé général de contestations et poussé les partis politiques consultés à annoncer ouvertement qu'ils ne lui accorderont pas leur confiance quand ils ont découvert, comme tout le monde, la composition du gouvernement.
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