Les ministres des Affaires étrangères de l'Union africaine ont continué leur débat le 28 janvier à Addis-Abeba, en Éthiopie sur la lutte contre la secte islamiste Boko Haram. Si des des voix se sont certes élevées en faveur de la réponse collective à la menace de ce groupe armé, certaines délégations présentes au contraire ont préfèré laisser la primeur du débat au conseil de sécurité de l'organisation panafricaine.
L'envoyée spéciale des nations unies pour le Sahel, Birout Gebre Selassie, a dénoncé le mutisme de certaines délégations concernant Boko Haram. « Ne pas agir collectivement serait la porte ouverte à une contagion de la menace à toute la région », a-t-il souligné.
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