Bangui — La vague d'enlèvements observée en République centrafricaine (RCA) illustre la persistance de l'insécurité et de l'instabilité dans ce pays qui s'efforce pourtant de tourner la page après deux années d'une violence politique extrême.
En janvier, en l'espace d'une seule semaine, 15 personnes, dont un ministre, ont été enlevées. Quelques jours plus tôt, un prêtre local, une travailleuse humanitaire française et une employée des Nations Unies avaient été pris en otage à Bangui, la capitale du pays. Ces trois derniers ont été libérés rapidement, mais le ministre, Armel Ningatoloum Sayo, ancien commandant rebelle, se trouve toujours en captivité.
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