Parler de cinéma et d'audiovisuel revient forcément à garder à l'esprit qu'il faudra se résoudre, d'ici ce 17 juin, à passer de l'analogique au numérique. Si cette révolution a de nombreux enjeux, certains acteurs du secteur pensent qu'il ne faudrait peut-être pas trop s'enflammer, en allant par exemple jusqu'à oublier que le cinéma ne date pas des années 2000...
Et entre le grand et le petit écran, certaines de nos images, quand bien même elles seraient fictives, doivent beaucoup à nos représentations, à nos symboles et à nos références. Ce qui explique pourquoi selon eux, il faudrait éviter que le public ait du mal à s'y retrouver ou que nos histoires aient ce quelque chose d'emprunté qui nous les rendent parfois étrangères.
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