Le Premier ministre italien se rend à Moscou pour tenter de faire bouger les lignes sur la Libye dont l'effondrement ne ferait l'affaire de personne dans la région.
À Rome, on est convaincu que plus tôt on éteindra le foyer incandescent de la crise en Libye, et mieux l'ensemble de la région du Maghreb se portera. La contagion ne profitera à personne. Elle risque même de s'aggraver et d'élargir à tout le pourtour méditerranéen la menace que représente la métastase de l'intégrisme islamique violent. Un moment tentée par la constitution d'une coalition pour aller bombarder les fiefs intégristes libyens, Rome est revenue à des sentiments moins belliqueux.
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