Les cas de piraterie ou de prises d'otages ont diminué au cours des dernières années. Mais, cette situation est «réversible», estime Jean-Claude de l'Estrac, secrétaire Générale de la Commission de l'Océan Indien (COI). Raison pour laquelle la COI fait de la piraterie son cheval de bataille. Une réunion a eu lieu au Gold Crest Hotel, à Quatre-Bornes, pour en débattre ce mardi 31 mars en présence de représentants de la Somalie et d'autres organisations régionales.
«Nous ne sommes pas à l'abri, voilà pourquoi il ne faut pas relâcher nos efforts», a fait ressortir Jean-Claude de l'Estrac. Et d'ajouter que ce sont d'autres délits avant-gardistes qui menacent aujourd'hui la région. Il a cité la pêche illégale, la pollution marine ou encore les financements illicites.
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