Khartoum, Soudan — Teresa Majouk*, réfugiée de 35 ans originaire du Soudan du Sud, a compris l'importance de la carte d'identité que lui ont remise les autorités soudanaises lorsqu'elle a connu un accouchement difficile le mois dernier.
Il était minuit lorsque Gai Deng a entendu les cris de sa femme à Mayo, l'une des quelque 30 installations informelles dans l'État de Khartoum. Gai et sa famille vivent dans ce camp depuis qu'ils ont fui la violence au Soudan du Sud en février 2014.
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