Les négociations, hier, entre le gouvernement et le Grand cadre des syndicats d'enseignants n'ont pas encore permis d'arriver à un accord concret. Des avancées significatives et substantielles ont été enregistrées certes, mais les syndicalistes préfèrent rendre compte d'abord à leur base avant de décider de la suite à donner à la grève.
Après près de huit tours d'horloge et malgré les bons offices des médiateurs de l'Assemblée nationale et du Conseil économique, social et environnemental, le gouvernement et le Grand cadre des syndicats d'enseignants ne sont pas encore parvenus à un accord. Il n'est ressorti de l'évaluation du protocole d'accords signé le 17 février 2014 que des engagements. En effet, sur les points inscrits à l'ordre du jour, le gouvernement a apporté des réponses à certains d'entre eux et concernant ceux qui ne peuvent pas être réglées immédiatement, il a pris des engagements et établi un échéancier pour les résoudre.
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