Les échéances électorales sont généralement vécues en Afrique par les populations dans la peur. Celle d'être contraintes de prendre le chemin de l'exil, baluchons sur la tête. Les raisons de ce triste constat résident dans le fait que les acteurs politiques perçoivent les compétitions électorales comme une guerre. Tous les moyens sont donc bons pour s'assurer la victoire.
Quand ce ne sont pas les préparatifs qui balisent le terrain pour une fraude massive, ce sont les présidents sortants qui s'asseyent sur la Constitution et sur leur conscience pour s'accrocher au pouvoir, advienne que pourra. C'est la posture qu'affiche aujourd'hui le président burundais, Pierre N'kurunziza.
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