Mieux vaut prévenir que guérir. Cet adage a été de mise à la Commission électorale nationale indépendante pour la Transition (CENI-T), à Alarobia, la semaine passé. Durant quatre jours les commissaires électoraux et les membres de l'organisation de la société civile KMF-CNOE, ont suivi une formation sur la prévention des violences électorales.
L'objectif était de trouver la manière d'éviter les conflits électoraux, mais aussi de gérer les éventuels troubles liés au processus électoral. Selon Fano Rakotondrazaka, porte-parole de la CENI-T, toutes les étapes, « de la prévention, en passant par la médiation, jusqu'à la répression, si nécessaire », ont été abordées durant cette formation.
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