Quatre jours après les échauffourées entre manifestants anti-troisième mandat du président burundais et forces de sécurité, la tension ne faiblit. Et on craint le pire pour ce pays qui danse dangereusement au bord du gouffre. Et cela sous le regard plus ou moins indifférent ou impuissant de la communauté internationale.
Du reste, en dehors des timides mises en garde faites par Washington au début de la crise, plus rien, ni personne ne semble se préoccuper du Burundi. Tout se passe comme s'il faut attendre que le pire advienne avant d'arrêter le massacre.
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