Ils sont des dizaines, bientôt des centaines, à rentrer en France après un séjour dans les "terres de jihad" syro-irakiennes : pour tenter de comprendre ce qu'ils y ont fait, et de détecter les terroristes en puissance, enquêteurs et magistrats tiennent à jour des albums-photo.
Au cours des premiers mois de l'insurrection syrienne, il était relativement facile de savoir ce qu'y faisaient (ou se vantaient d'y faire) les apprentis-jihadistes. Il suffisait de surveiller Internet et les réseaux sociaux et de faire des captures d'écran sur lesquels ils apparaissaient souvent kalachnikov en main, juchés sur des blindés, l'index levé, ou brandissant des têtes tranchées.
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