Destinées normalement à la coupe du bois et des branches d'arbres, les machettes « patrouillent » désormais la nuit dans les rues et quartiers de Tshangu, non pour sécuriser les paisibles citoyens, mais pour les agresser et les terroriser.
Les attaques sont ces temps derniers, si légion, au point que les plus frileux ont renoncé aux promenades nocturnes. D'autres hésitent deux fois avant de traverser des coins coupe-gorges où surgissent ces marginaux dont la sortie se solde toujours par des pleurs et des grincements de dents.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article