Les violences policières, persécutions, détentions arbitraires et viols survenus dans le cadre d’une opération de sécurité visant à expulser hors de la République du Congo (ou Congo-Brazzaville) des dizaines de milliers de ressortissants de la République démocratique du Congo (RDC) l’an dernier relèvent d’attaques généralisées susceptibles de constituer des crimes contre l'humanité, écrit Amnesty International dans un rapport rendu public jeudi 2 juillet.
L’organisation demande la suspension de l’ensemble des projets d’expulsions collectives d’étrangers hors de la République du Congo, ainsi que l’autorisation pour toutes les personnes ayant fait l’objet d’une expulsion illégale de revenir si elles le souhaitent.
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