Le président de la République savait de quoi il parlait quand il a évoqué la possibilité de voir l'Etat s'effondrer au cas où se produirait un autre attentat terroriste similaire à celui de Sousse. Il s'agissait, paraît-il, de créer un choc psychologique auprès des Tunisiens. Malheureusement, certaines voix continuent à semer la discorde.
Quatre jours après son annonce, l'instauration de l'état d'urgence par le président de la République, Béji Caïd Essebsi, continue à faire couler beaucoup d'encre et de salive.
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