«Nou ena zis trwa pied pou marse, apre sa ena sa fondation-la», explique Vicky Sukhdeowa. Il confie que cette situation, qui dure depuis plus d'un an, est de plus en plus inquiétante car sa mère âgée de 61 ans s'est déjà sentie mal en marchant près du fossé. De plus, la famille compte aussi des enfants qui sont obligés de passer par là.
«Mo mem komien fwa monn pran motosiklet monn pase, ros inn koumans tombe», s'alarme-t-il. Quand nous nous sommes rendus sur place la semaine dernière, nous avons effectivement constaté qu'il y a eu des éboulements.
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