Depuis les attentats de Fotokol, jusqu'à ceux de Maroua, le Cameroun est presque en état d'alerte. La vigilance prime. Mais la peur règne dans l'esprit des populations longtemps trempées dans la stupeur.
C'est donc dans ce climat de panique que les commentaires vont bon train. Tout le monde en appelle à la vigilance, mais de la vigilance aux règlements de compte, il ne reste que quelques minces risques de basculement.
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