Rome — Chaque midi à Rome, la rue arborée du centre culturel Baobab - géré par la diaspora érythréenne locale - s'anime, tandis que des migrants attendent à la file d'y recevoir une assiette de nourriture.
On ne peut manquer d'être frappé par l'aspect juvénile de leurs visages. Bien que la plupart aient fui l'Érythrée pour échapper à son service militaire à durée illimitée, aucun n'admettra avoir moins de 18 ans. Ils craignent d'être placés dans un centre pour enfants migrants non accompagnés, ce qui ruinerait leurs espoirs d'atteindre le nord de l'Europe.
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