En Côte d'Ivoire, Anselme Séka Yapo a été condamné hier à 20 ans de prison pour assassinat. Des exactions commises pendant la crise post-électorale de 2010-2011 par ce pilier de l'appareil sécuritaire de Laurent Gbabgo.
Mais, dans un rapport sorti hier, Human Rights Watch estime que depuis la fin de la crise postélectorale, les enquêtes de la Cour pénale internationale ont essentiellement visé des membres du camp de l'ancien président ivoirien. Alors même que le camp du président Ouattara est également soupçonné de violences et de crimes.
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