Depuis le 14 janvier 2011, deux ministres au moins, parfaitement arabisant, ne se sont point aventurés dans les labyrinthes de l'arabisation de l'enseignement, évitant par la même une kyrielle de voix tonitruantes. Et de corbeaux affamés. Pourtant, de par notre climat, nos amandiers fleurissent en une nuit. Avons-nous raté une occasion? Je le pense sincèrement.
Psittacisme aidant, la parole s'est libérée en tous sens, et l'on n'a jamais autant entendu sur nos chaînes radiophoniques et télévisées, d'irrespect total pour la langue nationale, de gens usant et défendant un français incompris de la masse des gens. Pire, certains haut gradés en politique et par médias interposées, se sont mis à accuser l'arabité faisant le lit du terrorisme. Tout autant que l'islamisation.
...