Dans la capitale du Nord, les chauffeurs de taxis jaune et noir sont en grève. Le mouvement d'humeur entamé, depuis hier, va durer deux jours. Ils protestent contre l'arrestation de leur président et huit de leurs camarades. Tout est parti du refus des chauffeurs de payer, depuis deux mois, le droit mensuel de stationnement qui se chiffre à quatre mille francs.
Cette situation est consécutive à l'introduction de 50 nouveaux bus Tata dans le circuit. Hier, c'était presque Saint-Louis ville morte. D'habitude, la ville se distinguait par de longues files d'attente, des embouteillages, du bruissement des pneus et autres klaxons de voitures, le tout assorti du ronflement des moteurs.
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