L'accord de paix signé le 26 août 2015 par le président Salva Kiir et son rival Riek Machar, a déjà pris du plomb dans l'aile. En effet, cet accord, arraché au prix de mille efforts, n'aura pas permis de faire taire les armes plus de 24 heures après son entrée en vigueur.
Le cessez-le-feu, espoir d'un retour à la paix, a été illico presto violé. Et comme il fallait s'y attendre, les belligérants signataires de l'accord s'accusent mutuellement. Car, aucun ne veut assumer la responsabilité de ce grand coup de canif porté à la paix au Soudan du Sud. Et pourtant, la chose semble évidente.
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